Campagnes de terrain d’inventaire des dispositifs d’adaptation

to-adaptation
gcrn
inventaire
observation

Relevés de terrains pour la TO Adaptation menés chaque année dans le cadre d’une prestation avec l’association des étudiants du Master 2 GCRN, de l’Université Montpellier Paul Valéry

Auteur·rice

Pierre Balzergue

Date de publication

8 octobre 2024

Depuis 2020, des campagnes annuelles sont réalisées dans le cadre d’une prestation avec l’association Globe’all Risk des étudiants du Master 2 Gestion des Catastrophes et des Risques Naturels (GCRN) de l’Université Montpellier Paul Valéry. Elle a lieu tout au long du premier semestre de l’année scolaire. Les nom des étudiants qui ont participé à ces campagnes sont listés à la page des contributeurs ponctuels de so-ii.

Cette campagne consiste à collecter des données sur le terrain pour réaliser un inventaire des dispositifs d’adaptation. Ce travail de terrain consiste à observer chaque adresse des secteurs d’étude (environ 10 000 adresses à observer à chaque campagne) afin de couvrir, à terme, l’ensemble du territoire de so-ii (soit un peu moins de 200 000 adresses). Quelques secteurs pourront être répétés lors de différentes campagnes afin d’observer une évolution temporelle de l’adaptation.

Ces campagnes sont cadrées par un protocole et sont caractérisées par l’observation :

Secteurs d’étude

Toutes les adresses au sens de la Base Adresse Nationale (BAN) localisées dans les secteurs d’études. Ces secteurs correspondent le plus souvent à des communes entières ou bien à des quartiers. Ils sont représentés sur la carte ci-dessous et détaillé par campagne dans la liste déroulante ci-dessous.

  • Clapiers
  • Montferrier-sur-Lez
  • Montpellier, quartiers :
    • Les Cévennes
    • La Chamberte
  • Prades-le-Lez
  • Saint-Aunès
  • Lattes, partie Nord
  • Les Matelles
  • Montpellier, quartiers :
    • Aiguelongue
    • Hôpitaux-Facultés
    • Plan des 4 seigneurs
  • Saint-Nazaire-de-Pézan
  • Grabels, partie Ouest
  • Lansargues
  • Montpellier, quartiers :
    • Arceaux
    • Pompignane
  • Mudaison
  • Saint-Just
  • Saint-Mathieu-de-Tréviers
  • Valergues
  • Candillargues
  • Juvignac, quartier de la Plaine
  • Lavérune
  • Montpellier, quartiers :
    • Les Aubes
    • Boutonnet
    • Beaux-arts
    • Centre historique
  • Teyran
  • Valflaunès
  • Grabels, partie Est et centre historique
  • Lattes, centre historique et Sud
  • Montpellier, quartiers :
    • Figuerolles
    • Gambetta
  • Mauguio, centre historique et Ouest
  • Palavas-les-Flots
  • Prades-le-Lez, centre historique

Méthode

Les campagnes sont cadrées par un protocole rigoureux développé par l’équipe so-ii décrivant la façon de réaliser les observations, de noter les relevés et d’utiliser l’outil de collecte de terrain (formulaire développé par so-ii avec le logiciel Open Data Kit). Les étudiants doivent également corriger les données/relevés qui n’ont pas été validés par so-ii.

Le protocole et le formulaire de relevés sont publiés à https://doi.org/10.57745/L6XIOJ

Données récoltées

Les données récoltées sont de type donnée physique. Elles sont format .csv ainsi que les photos prises de chaque dispositif d’adaptation observé. Voici le détail des champs des données collectées :

  • enqueteur : nom de l’enquêteur
  • date_enquete : date du relevé
  • heure_enquete : heure du relevé
  • commune
  • adresse : adresse postale au sens de la BAN
  • visible : niveau de visibilité des ouvertures inondables (hauteur >3m) des façades observables depuis l’espace public
  • nb_bati : nombre de dispositifs d’adaptation sur le(s) bâti(s)
  • nb_cloture : nombre de dispositifs d’adaptation sur la clôture
  • photo : photo de chaque dispositif (cadré sur l’ouverture support complète)
  • geopoint : géolocalisation des dispositifs si éloignés du point adresse (BAN)
  • travaux : signalement cas particulier → bâtiment en construction ou en travaux de rénovation ou pas de bâtiment à l’adresse

Ces données permettent de générer le jeu de données “observation” et “état”. Les photos des dispositifs collectées permettent de les décrire et contribuent à les générer dans le jeu de données “dispositif”.

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